Dessin de Dilem pour Charlie-Hebdo
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Distanciation sociale
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Manque à gagner
Dessin de Foolz pour Charlie-hebdo
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Une proposition alternative.
Dessin de Tignous, décédé en 2015 lors de l'attentat contre Charlie Hebdo.
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Charlie-Hebdo, 4 ans plus tard...
Voici un extrait de l'éditorial de Riss du 05.01.2019 :
Quatre ans après, beaucoup se sont déjà lassés. Parler du 7 janvier et de Charlie . «Encore!» «C’est pas fini, vos histoires ?» «Faudrait peut-être passer à autre chose !» C’est parfois ce que nous sommes obligés d’entendre. «Tiens, je croyais qu’il avait été tué, celui-là ?» a-t-on pu même lire sur les réseaux sociaux à propos de l’un d’entre nous. Reste que, derrière cette apparente désinvolture, on sent pointer autre chose. L’émergence de l’islamisme mais aussi la résurgence des populismes s’inscrivent dans un mouvement plus général de remise en cause des valeurs sur lesquelles se sont construites nos démocraties et qui trouvent leurs origines dans ce qu’on a coutume d’appeler «les Lumières». Aucune des libertés dont nous bénéficions aujourd’hui n’aurait vu le jour sans ce courant philosophique qui a commencé par défier Dieu avant de faire vaciller ses serviles serviteurs que furent rois et monarques.
La suite à lire dans Charlie n°1381 du 05.01.2019
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Marine Le Pen refuse un examen psychiatrique
Dessin de Riss pour Charlie Hebdo
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Les cadeaux nuls de Noël
Dessin de Riss pour Charlie-Hebdo
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Quand Trump encourage l'extrême-droite
Extraits de l’article de RFI du 16.08
Donald Trump persiste et signe : les responsabilités des violences à Charlottesville sont partagées. Des propos tenus lors d’une conférence de presse chaotique hier et qui suscitent l’indignation d’une majorité de la presse américaine. D’après le New York Times, le président américain a raté encore une fois une occasion de « condamner les néonazis et les suprématistes blancs ».
(...)
« Ces propos reprennent les arguments des nationalistes et des militants de l’extrême-droite, selon lesquels les médias n’accordent pas suffisamment d’attention au mouvement d’extrême gauche », estime le New York Times. Et le journal de conclure : avec de telles prises de positions, Donald Trump encourage l’extrême-droite comme aucun président avant lui.
Du coup, les suprématistes blancs ont de quoi jubiler. « Hier, c’était un jour fantastique pour David Duke (un ancien dirigeant du Ku Klux Klan NDLR) et les racistes », écrit le Washington Post. Le président donne un nouvel élan aux suprématistes blancs, renchérit le site Politico. D’ailleurs, David Duke a immédiatement réagi en saluant les propos présidentiels.